Venez tel que Vous Êtes, Mais ne Restez Pas tel que Vous Êtes

Jésus invite, accueille, rassemble, accepte et embrasse les gens, peu importe d’où ils viennent ou ce qu’ils ont fait. Ne vous sentez pas obligé d’être quelqu’un d’autre avant d’appartenir à Jésus.

Un hôpital accueille des personnes souffrant de toutes sortes de maladies et souhaite leur guérison et leur rétablissement. Si on leur disait : « Bienvenue, nous sommes heureux de votre présence, mais nous ne nous soucions pas de votre développement et de votre bien-être », ils partiraient tout simplement. En disant : « Venez tel que Vous Êtes, Mais ne Restez Pas tel que Vous Êtes », nous encourageons les gens à faire un pas de foi et à se préparer à recevoir la plénitude de la vie de Dieu.

Changer, comme Dieu le veut, ne signifie pas que nous devenons quelqu’un que nous ne sommes pas – cela signifie que nous devenons le meilleur de ce que nous avons toujours été censés être.


Dès le matin, Jésus alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S’étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus ; va, et ne pèche plus. – Jean 8:2-11